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L’année dernière, la Corée du Sud a présenté le plus faible taux de fécondité de la planète : 

0,72 enfant par foyer !

Le taux de natalité est le plus bas jamais enregistré non seulement dans l’histoire du pays, mais aussi à l’échelle mondiale pour un pays développé.

Un effondrement démographique sans précédent, et ses conséquences sont déjà visibles sur leur système de retraite : 

Une bombe démographique à retardement


En Corée, les estimations actuelles prédisent que la moitié de la population du pays aura plus de 65 ans en 2072.

Et ce déséquilibre met une pression immense sur le financement des retraites. 

Car dans un système par répartition sain, il faut environ 4 travailleurs actifs pour financer un retraité.

Sauf que d’après leurs projections démographiques, ce ratio pourrait chuter à 1,4 travailleur actif par retraité en 2070. 

Avec un tel ratio, le financement d’une retraite par répartition devient insoutenable.

Car les retraites dépendent de la pyramide des âges. 

Résultat : le gouvernement sud-coréen a dû allonger la durée de cotisation et envisage désormais des réductions de pensions pour tenter de maintenir le système à flot : 

Le pays a même tenté d’introduire des incitations financières colossales pour encourager les naissances, offrant jusqu’à 80 000 dollars par famille ! Mais cela n’a pas suffi à inverser la tendance. 

Baisse de la fertilité, hausse excessive de l’immobilier qui décourage à faire plus d’enfants, hausse du célibat volontaire…

La société est confrontée à des changements structurels profonds.

Le président sud-coréen Yoon a récemment pris la mesure de la situation, en qualifiant le déclin de la population d’« urgence nationale ».

Pourquoi cela devrait nous inquiéter ? 

Parce que la France suit une trajectoire similaire !

Si rien ne change, nous pourrions faire face aux mêmes bouleversements dans les prochaines décennies : 

La tendance française inquiétante que personne ne veut voir

Certes, la France n’en est pas encore à ce point. 

Mais le taux de natalité français, en baisse constante, est aujourd’hui à 1,68 enfant par foyer.

Ce chiffre se situe bien en deçà du seuil de renouvellement des générations (qui est de 2,1 enfants).

Le pays se dirige doucement mais sûrement vers un scénario similaire à celui de la Corée du Sud, avec un nombre toujours plus faible de cotisants pour soutenir un nombre croissant de retraités.

Et ce, malgré l’immigration de masse que les politiciens nous ont vendu comme la solution miracle à notre déficit de naissances en France.

Car pour maintenir un système de retraite par répartition en déclin, il n’existe que 4 alternatives :

  • La réduction des pensions ;
  • L’allongement de la durée de cotisation ;
  • L’augmentation des cotisations sur les travailleurs ;
  • Ou le recours à l’immigration.

La meilleure réponse : renforcer la solidarité familiale


Plutôt que de se laisser entraîner dans le discours médiatique sur le « combat des générations », il est bien plus efficace de travailler ensemble, en famille, pour préparer l’avenir.

Les systèmes de retraite risquent de devenir moins fiables et moins généreux.

C’est une réalité à laquelle nous devons tous nous préparer.

La première étape est simple : parlez d’argent avec vos proches.

Il est important de ne pas en faire un sujet tabou.

Montrez à vos enfants ou à vos petits-enfants comment gérer un budget, épargner, et surtout bien investir leur argent.

Plus tôt ils maîtrisent ces notions, plus ils seront armés pour faire face aux incertitudes économiques.

Ensuite, plutôt que de tout miser sur les retraites publiques, protégez le patrimoine familial.

Si vous possédez des biens immobiliers ou des économies, faites-les fructifier intelligemment et capitalisez !

Il n’y a rien de honteux à vouloir protéger ses proches, bien au contraire.

Profitez des dispositifs fiscaux pour optimiser vos investissements et assurez-vous que ces actifs peuvent soutenir les générations futures.

Mais au-delà des finances, il y a une chose cruciale : l’entraide familiale.

Enseignez à vos enfants l’importance de s’entraider, de ne pas voir les membres de la famille comme des « concurrents » mais comme des alliés.

Personne ne vous le dira dans le conseil financier.

Pourtant la famille a toujours été, à travers l’histoire et sur tous les continents, la cellule la plus résiliente.

Et c’est l’objectif du projet Familles Prospères !

À votre prospérité !